Les paysages jurassiens sont aussi magnifiques que l'accent local est vilain : un ciel bleu, un florilège de verts, des ocres, du relief, des cascades, des vieilles fermes ... bref le bonheur pour un paysagiste !
Durant ces quelques jours, j'ai pu peindre un peu et me frotter aux innombrables problématiques du plein-air, telles que :
- une lumière changeante en cas de ciel nuageux (certainement le pb le plus chiant)
- des kilomètres à parcourir pour trouver un point de vue intéressant
- cadrer un point de vue et le mettre à l’échelle du support à peindre
- les habituels coups de soleil, la déshydratation, les moucherons englués dans la peinture, les paysans consanguins, le tétanos des barbelés, etc.
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La cabane du chasseur, oil on board SOLD
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Le bronzage agricole = des bras bicolores
Rencontre avec les autochtones
Prochainement :
- Nouvelles peintures de paysages jurassiens
- Conseils spécial plein-air
La pensée romantique du jour :
La peinture permet de regarder les choses en tant qu'elles ont été une fois contemplées avec amour.
Paul Valery
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L'autochtone jurassien aurait bien mérité un portrait non?
RépondreSupprimerMerci pour tes réflexions qui vont encore me donner beaucoup de regrets à n'avoir pas toucher à un pinceau cet été!!!!
A très bientôt
Elisabeth
Haha merci Elisabeth, oui il y a tant d'expressivité dans son regard bovin, cheveux gras et autre filet de bave au coin de la bouche :D
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